Feels Like Home (Digipack)
  • Sam Favreau
    Sam Favreau
  • Cédrick Bec
    Cédrick Bec
  • Julien Brunetaud
    Julien Brunetaud

Julien Brunetaud

Feels Like Home (Digipack)

Swing Alley

Personnel:
Julien Brunetaud (p), Sam Favreau (b), Cédrick Bec (d)

Reference: SA 043

Bar code: 8427328450430



01. Feels Like Home (Julien Brunetaud) 5:47
02. Sael (Julien Brunetaud) 4:10
03. Let it Be (Paul McCartney) 5:17
04. Peace (Julien Brunetaud) 6:01
05. Red’s Point (Julien Brunetaud) 3:25
06. Garfield Groove (Julien Brunetaud) 6:09
07. Le grand bleu (Julien Brunetaud) 5:37
08. Emma’s Smile (Julien Brunetaud) 5:20
09. Trinidad's Delight (Julien Brunetaud) 3:28
10. Nola (Julien Brunetaud) 4:45
11. McCoy’s Blues (Julien Brunetaud) 5:37

Album details

Personnel:
Julien Brunetaud (piano), Sam Favreau (bass), Cédrick Bec (drums).
Recorded at Studio Éole, Rognes, France, January 23, 24 and July 27, 28, 2020

Recorded & mixed by Ben Rando
Mastered by Pieter De Wagter
Photography: Robin Levet & Catringsud
Graphic design: Guillaume Saix

Produced by Julien Brunetaud
Executive producer: Jordi Pujol

Press reviews



"Le patron exigeant de Fresh Sound New Talent, le catalan Jordi Pujol, en entendant jouer Julien Brunetaud à Barcelone, a reconnu une manière rare chez un jeune musicien actuel, du jazz soul, une approche de styles précise et experte.

C’est une couleur particulière qui s’entend immédiatement dans le nouvel album du pianiste “Feels like home”. Le titre de l’album sonne comme une évidence : on est en terrain de connaissance, rien à dire, Julien Brunetaud connaît ses classiques et l’art du piano en trio, il le maîtrise d’Errol Garner à Nat King Cole, sans oublier McCoy Tyner ou Oscar Peterson. S’il ne chante plus comme sur ses précédents albums, son piano le remplace. Venu s’installer à Marseille, il y a 3 ans, alors qu’il est originaire comme le batteur Mathieu Chazarenc d’Agen, il y a pris ses marques. Et ne se sent pas du tout “exilé” comme l’écrivait un journaliste de Sud Ouest! Comme tous les néo-arrivants, il y est heureux, d’autant que, pas fou, il a choisi de s’installer en bord de mer, dans le quartier animé de la Pointe Rouge, tout près des plages et des calanques. Deux de ses compositions font d‘ailleurs référence à la Méditerranée, “Red’s Point” (!) et “Le Grand Bleu”, peut être la seule mélodie plus mélancolique, qui nous prend à revers.

De l’aisance et de la fluidité, une légèreté sans aucune facilité, toute la beauté de musiques qui font dériver loin des ennuis quotidiens. Julien Brunetaud aime le blues, il vient de là, première constatation. Il raconte que c’est le pianiste chicagoan Otis Spann, accompagnateur de Muddy Waters qui lui a donné envie d’apprendre le piano. Et pas la guitare. Le blues comme une approche simple pour se lancer dans l’improvisation, jouer modal sur tout un morceau.

Il a acquis une belle expérience en faisant le métier sur les routes, en accompagnateur de l‘harmoniciste Nico Wayne Toussaint, dans la grande tradition de la musique américaine. On croirait entendre un vieux routier des clubs outre atlantique, tant son toucher est ferme avec une redoutable maestria dans les attaques. Il connaît les standards et cela s’entend, même si ce CD, son 5 ème, est composé de dix compositions originales et d’une seule reprise de “Let it be”, suffisamment arrangée par ses soins pour que l’on ne pense pas trop à l’original.

De la fusion rhythm & blues, soul et jazz, il se tourne vers la pop et le funk et cet univers composite ne lui fait pas peur. Il connaît aussi le boogie “Emma’s smile”, le stride, et avec ses comparses, ils arrivent à improviser, atteignant la véritable essence de cette musique; dans “Garfield’s groove”, ça joue, ça chante, on entend comme des effluves de Francis Lai, ce qui ferait une B.O de rêve. “Sael” est un portrait lumineux, une très jolie mélodie, une chanson délicate comme celles que savait écrire Trenet, subtil équilibre entre rêve de vie et joie de vivre!

Privilégiant le rythme autant que la mélodie, Julien Brunetaud arrive à un compromis idéal avec un trio soudé favorisant l’échange, multipliant à l’envi des fragments de citations, comme des petit bouts rimés, avec un entrain communicatif “Nola”

Le montage est habile, la musique gagne en intensité, allant crescendo sans qu’aucune chanson ne se ressemble, emportant tout en un tourbillon enivrant. Le dernier titre commence comme une attaque de Mc Coy, une tournerie légère et rapide.

Julien Brunetaud a trouvé les partenaires idéaux et du cru, qui savent s’adapter à toutes circonstances. Sam Favreau à la contrebasse a cette solidité terrienne qui en fait le pilier du groupe et Cédric Bec, léger, voire aérien aux balais, drive de façon enjouée et rebondissante.

Il faut absolument l’écouter en live ce groupe, il “mettra le feu”, ce trio; et si cet album ne vous rend pas euphorique, ne cherchez plus d’excuse, votre cas est sérieux, consultez ou allez-vous faire vacciner!"

Sophie Chambon (9 Avril, 2021)
http://notesdejazz.unblog.fr
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"Voici un retour à un jazz, disons-le sottement, «plus jazz» sans doute. Certainement plus traditionnel que la plupart des découvertes de cette chronique. Qu’y a-t-il donc alors qui fasse que tout d’un coup on se dise aussi que cette musique nous fait du bien?

Très certainement le groove, les échos du blues que le pianiste Julien Brunetaud connaît fort bien, le swing, mêlés ensemble par une place vivante et vivifiante laissée à l’improvisation. Le tout empreint de belles sonorités, d’un enthousiasme que l’on entend et qui, du coup, comme il faut dire aujourd’hui, arrive jusqu’à nous.

Il y a trois ans après multiples périples entre la France et les États-Unis, l’Agenais Brunetaud est arrivé à Marseille. C’est là qu’il a fondé son trio avec le bassiste Sam Favreau et le batteur Cedric Bec. Après avoir côtoyé B.B. King, Chuck Berry, Pinetop Perkins, joué au Chicago Blues Festival, avoir exploré cette musique avec succès (en 2007 il est «Musicien de l’année» pour le Hot-Club de France après avoir été «Meilleur pianiste blues européen» en 2005) il joue à New York avec George Cables, Aaron Goldberg et Junior Mance.

Et puis, voici la dernière étape de Julien Brunetaud. Il l’a façonnée de bout en bout. Il ne chante plus comme il le faisait sur tous ses enregistrements antérieurs. Mais il nous enchante. «Feels Like Home» (Swing Alley/Fresh Sound Records) son cinquième disque peut revigorer tous celles et tous ceux qui par ses temps printaniers en auraient besoin. Allez savoir pourquoi?"

Michel Arcens (Avril, 2021)
http://notesdejazz.unblog.fr
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"Déjà trois rendez-vous manqués par Action Jazz avec le trio JB3 de Julien Brunetaud, les festivals Southtown 2020 et 2021 et Jazz 360 en 2020, alors voilà une consolation avec cet album «Feels Like Home» .

Déjà le cinquième album du pianiste, compositeur, chanteur (pas cette fois) agenais, désormais installé à la Pointe Rouge, tout au bout de Marseille. Avec lui deux sidemen très recherchés, Sam Favreau à la batterie et Cedrick Bec à la contrebasse. Dix compositions originales et une reprise d’un titre qui a déjà par le passé eu un certain succès… «Let it Be» ; peut-être placé ici comme une prière pour la réouverture de nos lieux de cultes à nous, les salles de concerts, les clubs de jazz, les bars…

«Feels Like Home», comme à la maison, c’est l’impression de bien-être que donnent les trois musiciens, très à l’aise dans leurs instruments. Le blues, passion initiale de Julien n’est jamais loin, mais l’éventail du pianiste s’est bien ouvert à d’autres courants des plus traditionnels aux plus modernes. Swing, groove et mélodie font bon ménage, le trio jouant en parfaite osmose, énergique et musical. Pas facile de se démarquer quand on se frotte au trio classique du jazz, piano, contrebasse, batterie mais ces trois là y arrivent à la perfection. C’est comme une impression de fraîcheur qui se dégage de cet album grâce une esthétique personnelle très élégante, à la fois moderne et classique."

Philippe Desmond (8 Avril, 2021)
https://actionjazz.fr
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"On a l’habitude de dire que c’est à l’usage que l’on devient forgeron ou… pianiste. Il est vrai que Julien Brunetaud commence sérieusement à étoffer son CV. En 2002 il y eut Live au Comptoir, en 2005 Cocktail Blues and Boogie, Live at Cincinnati, en 2006 Orléans Street Boogie, un an plus tard, en 2007, Driftin Blues, en 2009 Looks Like Twins, sept ans plus tard, en 2016, Play Ground, puis en 2019 Baby Blues, et 2021 Feels Like Home. De là à penser que son installation dans le sud de la France lui sourit, il n’y a qu’un pas! Ou qu’une touche… blanche ou noire, peu importe… D’autant plus qu’il en profite pour composer un nouveau Trio en compagnie de Cédric Bec (Ambrose Akinmusire, Michel Portal, Wynton Marsalis) à la batterie et de Sam Favreau (Archie Shepp, Stéphane Belmondo, Yaron Herman) à la contrebasse, deux musiciens de la scène phocéenne, reconnus et très appréciés. A eux trois ils forment le Trio JB3 (sans nul doute le nom de code pour Julien Brunetaud Trio).

Sur ce nouvel album vous sont proposés 11 titres, avec une seule interprétation d’un morceau qui n’est pas du claviériste, le mythique “Let It Be” des Beatles. Ce qui n’est pas chose facile, compte tenu de la version ultra connue que nous sommes tous habitués à entendre, interprétée par les 4 garçons dans le vent. Reprendre “Let It Be” est une grosse, très grosse, prise de risque, mais Julien a décidé d’oser, même s’il est presque sûr que son interprétation divisera les auditeurs. Il fallait oser, et Julien l’a fait, chapeau l’artiste! Autre gageur: ne nous présenter que des compositions personnelles! Et là, il réussit la parfaite fusion entre un Jazz traditionnel et quelque chose au plus près d’une Soul au groove imparable. La forme acoustique du trio permet à chaque musicien de s’exprimer, en privilégiant à la fois le rythme et la mélodie. Fidèle à ses racines Julien Brunetaud persiste à laisser l’empreinte du blues s’insinuer entre ses gammes. Le résultat est à la hauteur de nos attentes… excellent!"

Dominique Boulay (7 Avril, 2021)
Paris-Move & Blues Magazine
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"Julien Brunetaud est ce que l’on peut appeler un artiste complet, à la fois pianiste, chanteur et compositeur, et c’est en suivant la chronologie du jazz qu’il a construit une carrière que beaucoup lui envient. D’abord attiré par le blues et le boogie woogie, c’est dans le sud des Etats Unis qu’il partira se former, dans le Mississippi et à New Orleans, et c’est là-bas qu’il enregistrera ses deux premiers albums.

Finaliste de l’International Blues Challenge en 2006, Julien poursuivra ses études aux côtés d’Aaron Goldberg et Georges Cables à New York et se produira durant une quinzaine d’années avec son propre groupe bien entendu, mais aussi en tant qu’accompagnateur de grands artistes comme Chuck Berry, B.B. King, Dana Gillespie et plus récemment Hugh Coltman. Installé depuis trois ans à Marseille, il revient cette année avec un cinquième album dans lequel il nous dévoile une nouvelle facette de son jeu puisque c’est en compagnie de deux artistes emblématiques de la scène jazz phocéenne, le contrebassiste Sam Favreau et le batteur Cédrick Bec, qu’il nous présente «Feels Like Home», un ouvrage instrumental dans lequel il met en avant un swing minimaliste tout en faisant de nombreuses allusions au jazz et au blues.

Véritable trésor de groove et d’improvisation, les dix compositions et la relecture très personnelle de «Let It Be» vont nous entrainer dans ce que Julien Brunetaud ressent de plus personnel depuis son installation à Pointe Rouge, cette musique très largement baignée d’énergie et de jazz que l’artiste nous offre avec tellement de classe au travers de morceaux comme «Sael», «Red’s Point», «Le Grand Bleu», «Emma’s Smile» ou encore «McCoy’s Blues». Brassage de toutes les influences qui ont permis à Julien Brunetaud de créer un style à part entière qui n’appartient qu’à lui, «Feels Like Home» nous ramène très discrètement vers des modèles comme Thelonious Monk, Count Basie, Oscar Peterson ou Nat King Cole mais aussi Otis Spann, Pinetop Perkins et autres Memphis Slim. Ceux qui apprécient habituellement le chant de l’artiste se consoleront en se régalant d’un jeu particulièrement abouti et de la véritable complicité que le trio a réussi à installer en aussi peu de temps."

Fred Delforge (26 Mars, 2021)
http://www.zicazic.com

Price:

10,95 €  (tax incl.)

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